McPhy va équiper la 1ère centrale électrique à hydrogène au monde


Illustration McPhy

Drôme : McPhy va équiper la 1ère centrale électrique à hydrogène au monde

McPhy, spécialiste des équipements de production et de distribution d’hydrogène à zéro-carbone (électrolyseurs et stations de recharge) basé à La Motte-Fanjas, a annoncé avoir été choisi pour équiper la Centrale électrique de l’Ouest Guyanais (CEOG), le plus grand projet au monde de centrale électrique combinant l’énergie photovoltaïque et un stockage massif de 128 MWh, principalement sous forme d’hydrogène. Ce projet a pour objectif de produire une énergie stable et continue, de jour comme de nuit, au même titre qu’une centrale thermique mais sans émettre de pollution. La centrale assurera l’approvisionnement en électricité de 10 000 foyers en Guyane, à un coût compétitif par rapport aux centrales thermiques du territoire. La mise en service est prévue pour 2024.

La centrale représente un investissement total de 170 millions d’euros, financé à hauteur de 60% par le fonds Meridiam, 30% par le groupe Rubis, et 10% par Hydrogène de France. Ce projet représente un jalon déterminant pour l’industrialisation que connaît actuellement la filière hydrogène.

Les recettes des radars routiers ont baissé sur le quinquennat Macron

C’est ce qui s’appelle une baisse significative : entre 2017 et les projections pour 2022, les recettes de l’état lié aux radars routiers pourraient baisser de plus de 100 millions d’euros. Au début du quinnat d’Emmanuel Macron, elle était estimée à 824,7 millions d’euros, elles devraient être de 714 millions l’an prochain. Impossible de ne mettre en exergue l’impact de la pandémie et du ralentissement de la vie, mais d’autres raisons existent également. Retrouvez-les dans notre article ci-dessous.

À lire : Pourquoi les recettes des radars routiers ont baissé sur le quinquennat Macron

Photo illustration Le DL/Vincent OLLIVIER
Photo illustration Le DL/Vincent OLLIVIER

Les premiers millions du plan Avenir montagnes débloqués

Ce vendredi 8 octobre à Pontarlier, le secrétaire d’État à la ruralité Joël Giraud va ouvrir le Conseil national de la montagne en signant les premiers contrats d’aide. Ils concernent l’enveloppe « ingénierie » des 331 millions de fonds par Jean Castex, destinés à accompagner les territoires dans la conception de leur projet de transition vers un tourisme 4 saisons et plus « résilient », à la mode. Des Vosges aux Alpes, la plupart des territoires aidés peuvent offrir un diagnostic sur les perspectives d’enneigement afin de calibrer leurs investissements et redéfinir la place du ski à l’horizon 2050 dans leur activité.

À lire : Les premiers millions du plan Avenir montagnes débloqués

Le salon de l’auto de Genève son édition 2022

Le salon de l’auto de Genève a décidé d’annuler son édition 2022, ont annoncé jeudi 7 octobre ses organisateurs, pour le repousser à 2023. En cause, les difficultés du secteur automobile, confrontées à une forte pénurie de semi-conducteurs. En raison de cette crise, « les constructeurs automobiles ont de nouvelles priorités qu’ils doivent d’abord résoudre », ont soupesé les organisateurs, estimant qu’ils n’avaient pas d’autre choix que d’annuler l’événement et attendre 2023.

À lire : Le salon de l’auto de Genève son édition 2022

Photo Le DL/Stéphane MARC
Photo Le DL/Stéphane MARC

Ardèche : Fareva, expert de la sous-traitance pharmaceutique, en difficulté

Le groupe Fareva, leader européen de la sous-traitance pharmaceutique et cosmétique, vit une période complexe. Les contextes sanitaires et économiques restent troublés et incertains, comme l’explique l’Ardéchois Bernard Fraisse, président-fondateur de l’entreprise. « Tous les produits pour les rhumes et diverses maladies du genre étaient inexistants depuis deux ans. On a eu une baisse d’activité, du coup. Et au niveau de la filière des cosmétiques, on n’a pas senti, non plus, de vrai redémarrage. »

À lire : Tournon-sur-Rhône : Fareva, leader européen de la sous-traitance pharmaceutique, « vit une période très difficile »

Pepsico : les prix des snacks et boissons doivent augmenter en 2022

Le géant américain des snacks et boissons Pepsico (Pepsi, Lipton, Tropicana, Lays, Doritos…) a annoncé que ses prix allaient probablement augmenter au moins jusqu’au premier trimestre 2022. En cause, la hausse des coûts des matières premières, des transports et des salaires. Comme d’autres grands groupes agro-alimentaires, Pepsico a commencé à faire monter ses tarifs cet été pour répercuter ses dépenses plus élevées. De nouvelles hausses sont en cours.

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