Le président russe interdit les plateformes de médias sociaux conduisant les influenceurs à publier des vidéos larmoyantes | Courrier de Mandurah


Les influenceurs russes des médias sociaux ont fait leurs adieux en larmes à leurs millions de followers suite à la décision du président Vladimir Poutine d’interdire certaines plateformes à travers le pays.

L’utilisatrice d’Instagram Olga Buzova a publié lundi une histoire à ses 23,1 millions de followers en leur disant dans son russe natal que « c’est comme si une grande partie de mon cœur et ma vie me sont enlevées ».

De nombreux influenceurs ont partagé des sentiments similaires en expliquant comment ils avaient réussi à tirer parti de leurs comptes pour devenir une source de revenus.

Pendant ce temps, les dirigeants mondiaux et les célébrités continuent de se tourner vers les médias sociaux pour partager leur condamnation des mouvements militaires du président Poutine en Ukraine.

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« C’est une guerre illégale », a déclaré Schwarzenegger.

« Vos vies, vos membres, votre avenir sont sacrifiés pour une guerre insensée condamnée par le monde entier. »

ADIEU : Olga Buzova, utilisatrice d'Instagram, a fait ses adieux en larmes à ses 23,1 millions d'abonnés lundi.  Photo : @buzova86

ADIEU : Olga Buzova, utilisatrice d’Instagram, a fait ses adieux en larmes à ses 23,1 millions d’abonnés lundi. Photo : @buzova86

Plus tôt cette semaine, le président français Emmanuel Macron a exprimé sa crainte que l’Europe ne soit bientôt confrontée à une guerre à grande échelle avec la Russie.

« Nos forces sont la seule armée à part entière sur le continent européen », a déclaré M. Macron en français.

« Nous devons nous préparer à un éventuel conflit armé de haute intensité et accroître les investissements [in the army]. »

Le président américain Joe Biden a fait écho à ces sentiments, qualifiant M. Poutine de « dictateur meurtrier » et de « pur voyou ».

Cette histoire d’adieu en larmes des influenceurs russes après l’interdiction des médias sociaux est apparue pour la première fois sur le Newcastle Herald.

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