Tromperie de haute technologie et problèmes de confidentialité


Les fraudeurs ont trouvé une nouvelle cible : des conducteurs sans méfiance à Easton, en Pennsylvanie. Le service de police local a émis un avertissement concernant les contraventions de stationnement contrefaites, exigeant une amende de 100 $. Ces billets frauduleux, dépourvus de détails sur la ville et d'informations de paiement spécifiques, demandent aux conducteurs d'envoyer de l'argent liquide sans fournir d'adresse.

La récente augmentation des fausses contraventions de stationnement nous rappelle de manière effrayante comment les escrocs exploitent les nouvelles technologies pour tromper le public. Les billets contrefaits semblent étonnamment officiels, ce qui rend difficile pour les conducteurs de faire la distinction entre les vrais et les faux avis.

À mesure que les voitures deviennent de plus en plus avancées technologiquement, les escroqueries potentielles ciblant les automobilistes sont devenues plus fréquentes. Un exemple de ceci est une escroquerie en ligne relative aux voitures d’occasion dans laquelle un conducteur a perdu des milliers de dollars après avoir reçu un faux titre de véhicule.

Problèmes de collecte de données et de confidentialité

Les constructeurs automobiles sont également confrontés à des préoccupations croissantes concernant la collecte de données et la confidentialité. La sophistication croissante de la technologie automobile a conduit à la collecte de grandes quantités de données, suscitant des inquiétudes quant à la manière dont ces informations sont stockées, utilisées et protégées.

Certaines entreprises ont mis à jour leurs politiques en réponse à ces préoccupations, mais le problème reste urgent tant pour les régulateurs que pour les consommateurs.

Mesures législatives pour lutter contre les escroqueries

À la lumière de ces développements, les dirigeants de l'État du Connecticut ont publié les détails d'une enquête indépendante qui a révélé que des milliers de contraventions, y compris des contraventions de stationnement, avaient été falsifiées par la police de l'État.

Le gouverneur Ned Lamont propose une législation qui érigerait en délit le fait pour les policiers de falsifier intentionnellement des dossiers et obligerait les fonctionnaires à informer le procureur général de l'État lorsqu'il existe des preuves qu'un policier aurait pu enfreindre la loi.

Le projet de loi clarifierait également que la falsification intentionnelle d'un casier judiciaire est un crime et rendrait le renvoi obligatoire dans de tels cas.



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