Top 5 : promus en galère – Actualité


Pour leur retour parmi l’élite, Ajaccio et Auxerre ont perdu lors de la première journée. Avant eux, d’autres promus se sont distingués en peinant à démarrer le championnat. Voici leurs histoires.

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Auxerre (2022-2023 ?)

Avec cinq promotions à son CV, Jean-Marc Furlan est clairement le meilleur entraîneur du monde de la deuxième division. C’est ensuite que cela se complique puisqu’il est descendu avec Troyes et Strasbourg. Le coach auxerrois a démarré cette saison en s’inclinant 4-1 à Lille. Un triste record : aucun club n’avait encaissé deux buts en moins de trois minutes depuis Toulouse, contre Nantes, en 1993. L’AJA manque encore d’éléments rompus à l’élite pour espérer se maintenir, notamment en défense. Et elle possède en Gaëtan Charbonnier l’attaquant made in Furlan : monstrueux en deuxième division, inoffensif en première.

Strasbourg (2017-2018)

Pour son retour en Ligue 1 UberEats® après dix ans d’absence, Strasbourg vit un cauchemar à l’occasion de la première journée de la saison 2017-2018. Lyon frappe quatre fois grâce à deux doublés de Mariano Diaz et de Nabil Fekir. 4-0, sans appel. Le bon recrutement (Kenny Lala, Pablo Martinez, Nuno Da Costa, Jonas Martin) signifie sept journées à porter ses fruits. Dix-neuvièmes, les Alsaciens remonteront dans la première partie du classement après des succès contre Rennes, Bordeaux, Toulouse et Paris avant d’assurer un maintien tranquille.

Dijon (2011-2012)

Il n’y a rien de plus beau qu’une première fois. Deux contre-exemples à cette phrase : la vie sexuelle de votre Community Manager et les premiers pas du Dijon Football Côte-d’Or en première division. Le 7 août 2011, les Bourguignons reçoivent Rennes. Ils alignent Benjamin Corgnet, Younousse Sankharé et Daisuke Matsui, ils sont confiants et plein d’allant. Mais ils fument 5-1 à domicile (mais rennais de Féret, Montano, Boukari, Mangane et Tettey). Malgré une série de bons résultats en février, Dijon sombre et ne gagne plus aucun match après le 25 mars. Pire défense du championnat. Patrice Carteron viré. La totale.

Grenoble (2009-2010)

Une défaite pour commencer, ça arrive. Deux défaites, c’est inquiétant. Trois, c’est problématique. Quatre, c’est la crise. Et onze ? Eh bien demandez à Grenoble : en 2009, les Isérois débutent par onze revers consécutifs à leur saison. Vraiment alors étonnant que l’équipe comporte des joueurs aussi brillants que Pierre Boya, Sandy Paillot, Jean Calvé et Jody Viviani. Le gratin dauphinois. Les 10 buts de Danijel Ljuboja n’empêchent pas le club de terminer à la vingtième et dernière place. Un an plus tôt, pour sa première saison parmi l’élite, l’ex-promu avait pourtant annulé une solide 13e place et des victoires de prestige contre Saint-Etienne, Monaco et le PSG.

Arles-Avignon (2010-2011)

François Pavon. Angelos Basinas. Chameau Meriem. Sébastien Piocelle. Remy Cabella. Angelos Charisteas. Dans une réalité parallèle à l’espace-temps différent du nôtre, Arles-Avignon aurait disposé d’un effectif européen à l’heure d’entamer la saison 2010-2011. Mais ces joueurs étaient soit trop vieux, soit trop jeunes, et la mayonnaise n’a jamais pris. Sochaux s’impose à domicile lors de la première journée puis Lens, Toulouse, Rennes, le PSG, l’OM, ​​Montpellier et Auxerre prennent leur tour les trois points face au promu. De quoi se jeter du pont d’Avignon. La première victoire du club n’interviendra qu’à la douzième journée, face à Caen, grâce à un doublé de l’incroyable Kaba Diawara.

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