Les meilleurs et les pires films du TIFF 2022 jusqu’à présent


Nous sommes techniquement à mi-chemin du Festival international du film de Toronto (TIFF) de cette année qui ne se terminera que dimanche prochain, mais déjà la majorité des « grandes » sorties ont été diffusées ici.

Alors que de nombreux visiteurs internationaux s’arrêtent au début de la semaine, cela reste une aubaine pour les habitants d’essayer d’attraper certains des meilleurs festivals dans les jours à venir.

Il y a beaucoup de films incroyables projetés plus tôt dans l’année lors de festivals précédents qu’il ne faut pas manquer, mais ici je me concentre sur ceux qui sont sortis le plus récemment.

Voici, à mon avis, quelques-uns des meilleurs et des pires films à jouer au TIFF 2022.

Le meilleur
Les Fabelman

Pratiquement un shoo-in pour le People’s Choice Award, ce plus gros succès du festival de cette année n’a pas déçu. La touche habile de Spielberg, combinée à une performance époustouflante de Michelle Williams et à un caméo acclamant la foule de Judd Hirsch, en fait facilement l’un des grands films de l’année.

Femmes qui parlent

Après ses débuts à Telluride la semaine précédente, le dernier film de Sarah Polley est de loin son meilleur. Une histoire sombre qui aurait facilement pu être un simple exercice technique, elle imprègne tellement d’intelligence et de nuances dans ce conte sombre mais édifiant, guidant l’ensemble d’une manière qui l’établit fermement comme une cinéaste de classe mondiale du plus haut niveau.

Oignon de verre : un mystère à couteaux tirés

Environ 20 minutes plus tard, j’étais quelque peu inquiet, m’amusant mais me demandant si nous obtiendrions vraiment quelque chose qui corresponde au plaisir du premier film. Et puis, BAM ! La boîte de puzzle complexe d’un film de Rian Johnson est un tel délice, le casting s’amuse clairement, procurant une joie ravissante au premier public ici en ville.

Frères

Une autre sélection de studio éclaboussante, qui n’enlève rien au calibre d’écriture et de performance en jeu dans cette comédie romantique LGBTQ + qui enfreint toutes les règles et embrasse fermement tous les tropes narratifs que l’on pourrait souhaiter. C’est très émouvant, très sexy, et surtout, très hilarant.

Les Banshees d’Inisherin

Le conte lyrique et allégorique de Martin McDonagh se déroule sur une île balayée par les vents au large de la côte irlandaise, et il semble aussi ancien et usé que les murs qui bordent les chemins empruntés par les habitants entre la maison, le champ et le pub. Mélangeant un air comique doux avec une nuance sombre, son histoire de fraternité déchirée est à la fois intrinsèquement irlandaise et résolument universelle.

Films canadiens au TIFF

Chaque année, le festival présente certains des meilleurs que ce pays a à offrir sur les écrans du monde, et avec des titres comme Brother et les nombreux films qui ont des liens locaux, ainsi que des titres de partout au pays, ce n’est jamais une mauvaise chose de célébrez un peu de Can-con ici au festival.

Le pire
Le fils

Après l’incroyable exploit qu’est Le Père Florian Zeller est revenu au festival avec la suite tant attendue. À peu près tout ce qui a rendu le premier extraordinaire est absent ici, évitant une vision cinématographique riche pour une capture pâle et piétonne de performances surmenées.

Deuxième projection publique de Glass Onion

Ce n’est un secret pour personne que le TIFF a subi un énorme roulement au cours des dernières années et qu’une grande partie de ses connaissances institutionnelles est absente. Cela n’a jamais été aussi évident que la gamme géante de détenteurs de billets payants s’est vu refuser l’accès à leur projection sans faute de leur part.



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