Vaccination, écoles, plan de relance: l’actualité des maires du Cantal


Valérie Cabecas, Jean-Luc Lentier, Christian Montin, Antoine Gimenez, ont fait le tour de l'actualité de l'AMF 15. Ils ont notamment souligné un don d'environ 42 000 euros en faveur des départements sinistrés lors de la tempête Alex en octobre 2020.
Valérie Cabecas, Jean-Luc Lentier, Christian Montin, Antoine Gimenez, ont fait le tour de l’actualité de l’AMF 15. Ils ont, notamment, fait partie d’un don d’environ 42 000 euros en faveur des départements sinistrés lors de la tempête Alex en octobre 2020. (© NG)

Christian Montin, maire de Marcolès et président de l’AMF 15 (association des maires), vient de faire le point sur l’actualité du moment. Il a tenu à rappeler le rôle que chacun d’entre eux joue dans le rôle de facilitateurs de leurs concitoyens pour se faire vacciner dans le cadre de la lutte contre la pandémie.

Plan de relance

Il a également indiqué la nomination pour chaque EPCI (établissement public de coopération intercommunale) d’un représentant pour favoriser les échanges avec la préfecture et notamment, Cécilia Mourgues, sous-préfète à la relance. En charge de la déclinaison territoriale du plan France Relance, elle assurera l’animation et le suivi partenarial des projets structurants pour le Cantal, en lien avec les collectivités, entreprises, associations, élus et citoyens.

Annuaire des maires

Il a été également fait état des lieux de la parution de l’annuaire des maires et des présidents des EPCI du Cantal 2020-2026: «Un long travail de préparation. Il est disponible dans toutes les mairies mais également à notre siège (au Conseil départemental) »souligne Christian Montin.

Le bureau de l’AMF 15

Président: Christian Montin.
Vice-présidents: Pierre Mathonier, Philippe Delort, Edwige Zanchi, Jean-Luc Lentier.
Secrétaire: Valérie Cabecas.
Trésorier: Antoine Gimenez.

Carte scolaire

Sur la question souvent épineuse de la carte scolaire, ce dernier a indiqué: «Il faut garder un certain équilibre. Nous avions été les premiers à signer une convention (Vincent Peillon était alors ministre de l’Education en 2014) pour s’assurer que le Cantal ne perdrait aucun poste pendant trois ans, même si le nombre d’élèves baissait. Désormais, nous avons une nouvelle convention qui expire dans deux ans. Nous venons de perdre trois postes dans le premier degré, ce qui n’est pas dramatique. Mais il faut se mettre autour de la table pour réfléchir à l’école de demain et pour éviter, chaque année, d’attendre le couperet de février qui nous stipule le nombre de postes perdus. Il ne faut pas seulement regarder la logique comptable mais prendre en compte certaines données de notre territoire comme notre enclavement, par exemple »poursuit Christian Montin.

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