Reportage photo : Nous avons confiance dans le riz
Des projets soutenus par l’ONU en République démocratique populaire lao (RDP), en Asie du Sud-Est, utilisent les connaissances locales pour augmenter les rendements du riz, la culture vivrière de base du pays, et protéger l’environnement.
Environ 90 % du riz est cultivé en Asie, sur plus de 200 millions d’exploitations rizicoles, dont la plupart ont moins d’un hectare. Environ un cinquième de la population mondiale – plus d’un milliard de personnes – dépend de la culture du riz pour sa subsistance.
PNUD RDP Lao/Tock Soulasen Phomm
En améliorant les rendements du riz, les agriculteurs de subsistance sont en mesure de cultiver plus de riz sur moins de terres. Cela réduit les pressions sur les forêts, car il est moins nécessaire de couper des zones boisées et de les transformer en terres agricoles.
PNUD RDP Lao/Tock Soulasen Phomm
Lorsque les rendements du riz diminuent en RDP lao, en raison d’une mauvaise gestion des sols, les communautés sont obligées de convertir les zones boisées en terres agricoles.
Un projet gouvernemental, soutenu par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), promeut la gestion durable des terres et des forêts pour inverser cette situation.
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Les projets soutenus par l’ONU consistent à former quelque 425 agriculteurs (dont près de 200 femmes) dans les villages de la province de Savannakhet, à adopter des méthodes durables d’intensification du riz.
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