Les arrivées internationales pourront faire examiner la quarantaine de l’hôtel à Victoria


Les voyageurs internationaux arrivant à Victoria pourront faire examiner leur obligation de mise en quarantaine hôtelière par des avocats, à la suite de l’enquête judiciaire de l’État sur le système redémarré.

Le ministère de la Santé a confirmé que les arrivées à l’étranger seraient autorisées à faire appel de leur détention à partir de mardi prochain, un panel d’avocats indépendant décidant si la mise en quarantaine de l’hôtel est nécessaire.

L’ensemble du processus d’examen est censé ne pas prendre plus de 24 heures et fait partie des recommandations formulées par l’enquête sur la quarantaine des hôtels de l’État.

Les arrivées internationales pourront «faire appel» à leur séjour en quarantaine à l’hôtel à Victoria. (Neuf)

« Une personne qui fait l’objet d’une détention en vertu de l’article 200 (1) (a) peut présenter une demande au secrétaire pour une révision par un centre de détention », peut-on lire.

« L’agent de révision de la détention doit faire tout son possible pour statuer sur la demande et informer le demandeur par écrit de la décision et des raisons de celle-ci, dans les 24 heures suivant la réception de la demande par le secrétaire. »

Victoria a relancé son programme de quarantaine dans les hôtels le 8 avril pour la troisième fois. (Neuf)

Les avocats ayant plus de 10 ans d’expérience doivent agir à titre d’agents de contrôle des motifs de détention.

Toutes les demandes doivent être renvoyées à un agent immédiatement après avoir été présentées pour examen.

Les agents de révision de la détention doivent alors prendre une décision dans les 24 heures suivant la réception de la demande ou la renvoyer à l’administrateur en chef de la santé pour qu’il prenne une décision finale.

Les personnes détenues en quarantaine d’hôtel peuvent présenter plusieurs demandes si leur situation change.

Exemptions pour quitter la quarantaine peuvent encore être accordées pour diverses raisons, y compris pour des raisons humanitaires ou médicales, telles que les personnes souhaitant assister à des funérailles ou rendre visite à un parent mourant.

Le ministère a déclaré que si une exemption était refusée, la personne pourrait alors choisir de demander que son cas soit examiné par un agent de détention.

Il y a trois cas actifs de COVID-19 en quarantaine.

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