Le secteur de la technologie voit une augmentation de l’emploi collaboratif – Actualités


Les techniciens améliorent leurs perspectives en améliorant leurs compétences pour des emplois mieux rémunérés à l’avenir.



Reuter

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Par HP Ranina

Publié : sam. 8 oct. 2022, 16:19

Question : J’ai lu dans la presse que certaines sociétés informatiques bien connues prennent des mesures sévères contre leurs employés qui se livrent au travail au noir et travaillent pour d’autres après les heures de bureau. Est-il légalement possible d’agir dans de tels cas et cela ne porterait-il pas atteinte aux droits personnels d’une personne ?

Le débat sur le travail au noir, en particulier dans le secteur informatique, a maintenant atteint les portes du gouvernement. L’opinion officielle est que la pige après les heures de bureau ne devrait pas se faire au détriment d’obligations contractuelles. Cependant, on estime que le secteur des entreprises devrait être prêt pour une nouvelle ère d’emploi collaboratif. La plupart des jeunes technophiles ont confiance en eux et veulent monétiser et créer plus de valeur à partir de leurs propres compétences.

Selon le ministre du ministère de l’informatique en Inde, la génération actuelle croit en l’entrepreneuriat salarié et il y a donc un changement structurel dans les mentalités et les attitudes de la jeune main-d’œuvre technologique. Selon lui, aucun modèle captif ne réussira de nos jours. Plusieurs employeurs éclairés s’attendent à ce que leurs employés fassent preuve d’esprit d’entreprise tout en les servant. Au fil du temps, il y aura une communauté de constructeurs de produits qui partageront leur temps sur plusieurs projets. La plupart des jeunes techniciens qui travaillent au noir le font non seulement pour gagner un revenu supplémentaire, mais aussi pour acquérir de nouvelles compétences lorsqu’ils travaillent pour d’autres qu’ils n’acquièrent pas dans leur travail à temps plein. En se perfectionnant, ils améliorent leurs perspectives d’emplois mieux rémunérés à l’avenir.

Les normes de confidentialité du téléphone sont violées car aucune action en justice n’est intentée contre les contrevenants. Est-ce que quelque chose est fait pour remédier à la situation et protéger l’intérêt du public en général?

Il est proposé d’introduire prochainement une législation au Parlement indien qui remplacerait la loi indienne sur les télégraphes vieille de 140 ans. Le projet de loi est en cours d’élaboration après avoir pris en compte les points de vue du public et des ministères du gouvernement. L’objectif est de garantir l’intérêt du public.

Les commentaires reçus jusqu’à présent soulignent la nécessité d’avoir des dispositions pénales en cas de violation des directives sur la vie privée des utilisateurs de télécommunications. Les contrevenants à la législation auront d’abord la possibilité de prendre des mesures correctives et de s’abstenir de toute action offensive dans un délai déterminé. Cela permettra de rectifier les erreurs authentiques et les violations mineures. Si des mesures correctives ne sont pas prises dans le délai imparti, des sanctions seront imposées. La législation adoptera donc une approche de la carotte et du bâton pour s’assurer que seules les infractions répétitives sont passibles de sanctions sévères.

Le prix des produits pharmaceutiques n’a cessé d’augmenter non seulement en Inde mais dans le monde entier. Des mesures sont-elles prises pour atténuer les difficultés des couches les plus pauvres de la société ?

Des mesures sont prises pour rendre abordables les produits et dispositifs pharmaceutiques essentiels. Plusieurs antibiotiques, analgésiques et médicaments thérapeutiques utilisés pour traiter les maladies chroniques doivent être inclus dans la liste nationale des médicaments essentiels. Les produits et dispositifs répertoriés dans le NLEM ne peuvent être vendus qu’à des prix fixés par la National Pharmaceutical Pricing Authority. Ceux qui ne figurent pas sur la liste se verront accorder une augmentation de prix annuelle maximale de dix pour cent.

Les médicaments utilisés pour le traitement du diabète et certains vaccins critiques doivent également être inclus dans le NLEM. Le ministère de la Santé prend des mesures pour s’assurer que les médicaments utilisés pour les maladies chroniques sont disponibles en quantité suffisante avec une qualité garantie. Les fabricants de ces produits seront tenus de fixer le prix en utilisant une formule prescrite par le gouvernement. Le calcul du prix plafond sera basé sur la simple moyenne des prix du marché de différentes marques de médicaments détenant une part de marché d’au moins un pour cent.

HP Ranina est un avocat en exercice, spécialisé dans les lois de gestion fiscale et de change de l’Inde. Les opinions exprimées sont les siennes et ne reflètent pas la politique du journal.

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