L’activité physique peut réduire le risque de Parkinson chez les femmes


photo d'une femme souriante tenant une plante en pot et un outil de jardinage

Une activité physique régulière, y compris la marche, la montée des escaliers, le jardinage et le nettoyage, peut aider à prévenir ou à retarder l’apparition de la maladie de Parkinson chez les femmes, selon une nouvelle étude.

L’analyse, qui a été publiée en ligne le 17 mai 2023, par la revue Neurologie, ont suivi près de 99 000 femmes (moyenne d’âge de 49 ans) qui n’avaient pas la maladie de Parkinson au début de l’étude. Les chercheurs ont comparé les niveaux d’activité des participants sur près de trois décennies à l’aide de questionnaires réguliers, attribuant à chaque femme un score d’activité basé sur la fréquence et la durée de ses activités récréatives, sportives et ménagères. À mesure que les niveaux d’activité des femmes augmentaient, leur risque de développer la maladie de Parkinson – un trouble du mouvement caractérisé par des tremblements, une raideur musculaire et des problèmes de démarche et d’équilibre – diminuait. Au cours de la durée de l’étude, les femmes ayant les scores d’activité physique les plus élevés avaient un risque de maladie de Parkinson 25 % inférieur à celui des femmes les moins actives.

La prévention de la maladie de Parkinson semble être une autre raison de rester physiquement actif tout au long de la vie adulte. La maladie, généralement diagnostiquée chez les personnes de plus de 60 ans, reste incurable, avec des traitements visant uniquement à réduire les symptômes.

Image : © José Luis Pelaez Inc/Getty Images

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