JAMES DALY: Le retour du sport junior est essentiel pour améliorer la santé mentale des jeunes


Un élément CRUCIAL du calendrier du premier ministre visant à assouplir les restrictions de verrouillage doit être la façon dont nous gérons son impact négatif sur la santé mentale et physique des enfants.

La réouverture des écoles, l’investissement dans l’infrastructure physique du jeu, la création de sports d’équipe organisés par les enfants et l’investissement dans les services de santé mentale pour enfants sont toutes des mesures que nous devons prendre le plus tôt possible.

Deux rapports exposent les faits sur la réouverture des écoles que nous devons équilibrer. Le premier, par le Dr Mike Tildesley et le Dr Edward Hill, n’a trouvé aucune preuve que les écoles étaient responsables de la propagation de Covid. Le deuxième, par le professeur Russell Viner, a constaté que les fermetures d’écoles étaient «associées à des dommages considérables pour la santé et le bien-être des enfants et des jeunes». Les preuves scientifiques ne justifient pas la fermeture continue des écoles et nous devons rouvrir le 8 mars.

À Bury, nous avons d’excellents parcs, mais nous devons chercher à investir dans des installations, des clubs et des activités pour permettre à chaque enfant de jouer et d’interagir avec les autres près de chez lui. L’importance de la campagne et des espaces ouverts pour notre bien-être général a été claire tout au long de la pandémie et nous devrions renoncer à tout autre plan visant à détruire de vastes zones de la ceinture verte. Nos enfants doivent avoir accès à des terrains de jeux naturels pour faire de l’exercice, s’amuser, avoir accès à la faune et un endroit pour rencontrer leurs amis. Cela doit faire partie de notre message de santé publique.

Les sports d’équipe pour enfants doivent être autorisés le plus tôt possible. L’exercice est essentiel pour améliorer la santé mentale et physique des jeunes. Je n’ai reçu aucune preuve médicale démontrant qu’une telle activité est un vecteur majeur de transmission de Covid. C’est une évaluation des risques que les politiciens doivent faire, mais ne pas permettre aux enfants de pratiquer des sports de compétition avec leurs amis n’est pas seulement positif pour eux, mais aussi pour leurs familles qui peuvent regarder des matchs à distance sociale. J’ai vu de mes propres yeux comment des entraîneurs bénévoles comme Danny Grundy, Andy Robinson, Richard Birtwistle, Lee Dickinson, Paul Kent et bien d’autres donnent un temps et un engagement sans fin pour le développement sportif des enfants et les avantages infinis que cela apporte. Nous devons nous efforcer de garantir que les enfants, quels que soient leur âge, leurs antécédents et leurs capacités perçues, aient la possibilité de participer à de telles activités. Enfin, nous devons investir massivement dans les services de santé mentale pour nous assurer que, quels que soient les défis uniques auxquels nos enfants sont confrontés, ils ont accès au soutien dont ils ont besoin.



Laisser un commentaire