Une photographe de bébés à la renommée internationale


Florence Etienney est photographe. Sa spécialité: les portraits de bébés qui lui ont valu de nombreux titres internationaux. Depuis 2014, son studio est installé à Montrevel-sur-Bresse dans l’Ain. Elle propose d’immortaliser les nouveaux-nés tout au long de leur première année.

Les yeux mi-ouverts, Louis, 10 jours à peine, est dorloté par Florence Etienney. Avec son minuscule bonnet angora, le petit garçon à des allures d’ourson blanc paisible. La photographe à la renommée internationale, qui a monté son studio à Montrevel-en-Bresse dans l’Ain depuis 2014, le dépose délicatement sur le piedestral qu’elle a conçu pour l’immortaliser. Ses gestes sont minutieux et calculés. « Il faut assurer la sécurité du bébé en permanence », explique-t-elle. « Il y a beaucoup de poses que l’on voit et qui ne sont faisables qu’en deux fois. Certains parents et photographes essaient de les reproduire et c’est plus dangereux qu’autre choisi ».

Son travail méticuleux et professionnel lui a valu de nombreux prix internationaux visibles sur son site internet. Parmi eux: le prix de la plus belle photo de bébé du concours international de photographie de bébé. Un travail qui fait penser à la célèbre photographe de bébés Anne Geddes, célèbre dans les années 1990.

Ses clients apprécient particulièrement son travail, la voyant même parfois plus qu’un photographe: « Florence s’aparente à une super-maman » raconte Céline Murigneux, la maman de Louis. « On a envoyé qu’il y a un vrai relationnel. Cela fait beaucoup de bien d’avoir des personnes apaisantes autour d’un petit bout de chou! »

Florence Etienney dans son studio apprêté pour photographier le petit Louis

Florence Etienney dans son studio apprêté pour photographier le petit Louis

© Francetv

Florence Etienney ne photographie pas seulement les bébés: mariages, conscriptions, photos de classe et autres grossesses font également partie de ses activités. Mais définitivement, c’est aux nouveaux-nés qu’elle préfère tirer le portrait. « Les attitudes ne sont jamais identiques avec les enfants. Lorsque l’on essaye de reprendre la photo, l’enfant n’est jamais le même. » explique celle qui « friand » vu photographie des nouveaux-nés.

Si son activité a été impactée par la covid, notamment faute de mariages, grâce à ses portraits de bébés, son entreprise n’est aujourd’hui pas en danger.

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