Un tribunal sud-africain refuse la libération sous caution d’un accusé lors d’un incendie au Parlement -Media | Nouvelles du monde


(Reuters) – Un tribunal sud-africain a refusé vendredi la mise en liberté sous caution d’un homme accusé de crimes, notamment d’incendie criminel suite à un incendie dévastateur au parlement national du Cap en janvier, ont rapporté les médias locaux.

Zandile Mafe a nié les accusations portées contre lui.

Les responsables ont décrit l’incendie, qui a gravement endommagé des parties de l’enceinte parlementaire, comme une attaque contre la démocratie sud-africaine.

La législature a joué un rôle crucial en aidant à faire reculer les politiques répressives de l’époque de l’apartheid au cours des trois dernières décennies, et certaines parties du complexe parlementaire datent des années 1880, lorsque l’Afrique du Sud était sous la domination coloniale britannique.

Mafe « n’a pas convaincu le tribunal qu’il existe des circonstances exceptionnelles qui, dans l’intérêt de la justice, permettent sa libération », a jugé le tribunal du Cap, selon une vidéo publiée par un journaliste du TimesLIVE sur Twitter.

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Un autre site d’information, Eyewitness News, a rapporté que Mafe ferait appel du jugement de vendredi.

(Écrit par Alexander Winning, édité par Mark Heinrich)

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