Pourquoi le rugby gallois n’en finit plus de couler


L’arrière du pays de Galles, Liam Williams (au centre), auteur d’un essai samedi dernier lors du succès gallois en Italie, a déclaré forfait pour le match contre la France. Photos de l’AP/Photos de l’AP/ABACA

DÉCRYPTAGE – Après une menace de grève, trois défaites et un petit succès contre l’Italie, le pays de Galles défiera le XV de France sans certitude.

Après les accusations de sexismes visant l’ex-directeur général de la fédération, les difficultés économiques de cette dernière, la menace de grève des joueurs et le manque de résultats sur le terrain, le pays de Galles s’est arrêté une crise bien plus grande en s’imposant samedi dernier en Italie (17-29), une semaine avant d’affronter l’équipe de France au Stade de France.

Le succès à Rome pourrait sembler anecdotique. Mais après trois revers en autant de rencontres dans le Tournoi des six nations, les Gallois viennent d’éviter, sans doute, une deuxième cuillère de bois après celle de 2003.Cette victoire a quelque peu soulagé les joueurs, les entraîneurs et le public gallois. C’était agréable de nous voir enfin gagner. Compte tenu de la situation dans laquelle nous nous sommes retrouvés en dehors du terrain et de nos nombreuses défaites, ce succès était le bienvenu», confie-t-il Figaro Lee Byrne, ancien arrière du XV du Poireau (42 sélections de 2005 à 2012).

Mais le mal est plus profond…

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