PODCAST. Sportifs amateurs, ils racontent leur rapport à la douleur. sport


En 2014, Chloé a 21 ans. Elle réalise une étape à Taïwan. Plutôt « adepte de la politique du moindre effort », Elle n’est pas particulièrement attirée par le sport. Un jour, pourtant, elle décide d’aller faire un tour à vélo. « Je me suis dit que ma condition physique était un peu nulle, il fallait que je me bouge. »

Elle décide de se mettre à la course à pied. À l’époque, elle ne se doute pas que sa marche en avant l’amènera jusqu’à participer à l’Ecotrail de Paris, un parcours de 80 km. « J’aime bien me sentir fatiguée physiquement. Les courbatures, j’aime bien ça. Je me sens plus vivante! »


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«Se faire mal», «serrer les dents», «aller au bout de soi»: le champ lexical des sports d’endurance emprunte beaucoup à la notion de souffrance et défini le rapport ambigu, contradictoire voire addictif qu’entretiennent certains amateurs à exercice physique.

Dans ce nouvel épisode d ‘À voix haute, le podcast qui vous propose en lecture une sélection d’articles d’Ouest-France, découvre les témoignages que Chloé, Alexandre et Morgan. Des sportifs amateurs qui nous racontent, au téléphone, pourquoi ils aiment repousser les limites de la souffrance. Un article écrit par Alexis Boisselier.

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