Listes longues du National Book Award annoncées dans 2 catégories


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Cette combinaison de photos montre la couverture des livres en compétition pour le National Book Award pour la littérature jeunesse, rangée du haut à partir de la gauche, « Me (Moth) d’Amber McBride », « A Snake Falls to Earth » de Darcie Little Badger, » de Safia Elhillo » La maison n’est pas un pays », « Too Bright to See » de Kyle Lukoff, « Unspeakable : The Tulsa Race Massacre » de Carole Boston Weatherford, rangée du bas à partir de la gauche, « From a Whisper to a Rallying Cry » de Paula Yoo, « Anna-Marie McLemore » The Mirror Season », « Last Night at the Telegraph Club » de Malinda Lo, « The Legend of Auntie Po » de Shing Yin Khor et « Revolution in Our Time: The Black Panther Party’s Promise to the People » de Kekla Magoon (rangée supérieure de à gauche, Feiwel & Friends, Levine Querido, Make Me a World, Dial Books, Carolrhoda Books, rangée du bas à partir de la gauche, Norton Young Readers, Feiwel & Friends, Dutton Books for Young Readers, Candlewick via AP)

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Des histoires allant des récits des mythes de Paul Bunyan et de « La Reine des neiges » de Hans Christian Andersen à un retour sur la Black Panther Party figurent parmi les 10 nominés sur la liste longue du National Book Award pour la littérature jeunesse.

Mercredi, la National Book Foundation a également annoncé la liste longue des livres traduits, avec des fictions provenant de Syrie, du Chili et de Corée du Sud, entre autres pays. L’auteure de langue française Maryse Conde, souvent mentionnée comme une possible candidate au prix Nobel, a reçu sa première nomination au National Book Award, à 84 ans, pour son roman « Waiting for the Waters to Rise. » Richard Philcox était le traducteur.

Cette semaine, la fondation dévoilera ses présélections pour les cinq catégories du concours : fiction, non-fiction, poésie, littérature jeunesse et traduction.

Les juges réduiront les listes à cinq finalistes le 5 octobre et les gagnants seront annoncés lors d’une cérémonie le 17 novembre à Manhattan. La fondation à but non lucratif, qui remet les prix, prévoit d’organiser l’événement en personne cette année après avoir rendu virtuelle la cérémonie de l’année dernière en raison de la pandémie.

Dans la littérature jeunesse, la liste comprend « The Mirror Season » d’Anna-Marie McLemore, sa version contemporaine de « The Snow Queen » ; et le roman graphique « The Legend of Auntie Po », dans lequel Shing Yin Khor s’inspire de Bunyan et d’autres contes populaires pour un récit qui réfléchit sur la race, la classe et l’immigration. « A Snake Falls to Earth » de Darcie Little Badger est basé en partie sur les traditions de narration Lipan Apache.

Les autres jeunes nominés étaient « Unspeakable : The Tulsa Race Massacre » de Carole Boston Weatherford, avec des illustrations de Floyd Cooper, décédé plus tôt cette année ; « La maison n’est pas un pays » de Safia Elhillo ; « La dernière nuit au Telegraph Club » de Malinda Lo ; « Too Bright to See » de Kyle Lukoff ; « La révolution à notre époque : la promesse du Black Panther Party au peuple » de Kekla Magoon ; « Moth » d’Amber McBride ; et « From a Whisper to a Rallying Cry » de Paula Yoo.

Outre Conde, les traductions nominées incluent « Winter in Sokcho » d’Elisa Shua Dusapin, traduit du français par Aneesa Abbas Higgins ; « Peach Blossom Paradise » de Ge Fei, traduit du mandarin par Canaan Morse ; « The Twilight Zone » de Nona Fernández, traduit de l’espagnol par Natasha Wimmer ; et « On the Origin of Species and Other Stories » de Bo-Young Kim, traduit du coréen par Joungmin Lee Comfort et Sora Kim-Russell.

D’autres sur la liste des traductions étaient « Quand nous cessons de comprendre le monde » de Benjamín Labatut, traduit de l’espagnol par Adrian Nathan West ; « L’île aux lapins » d’Elvira Navarro, traduite de l’espagnol par Christina MacSweeney ; « An Inventory of Losses » de Judith Schalansky, traduit de l’allemand par Jackie Smith ; « In Memory of Memory » de Maria Stepanova, traduit du russe par Sasha Dugdale ; et « La planète d’argile » de Samar Yazbek, traduit de l’arabe par Leri Price.

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