Les États-Unis interdisent l’ex-président équatorien pour corruption présumée – Déclaration | Nouvelles du monde


WASHINGTON (Reuters) – Les États-Unis ont interdit à l’ancien président équatorien Abdala Bucaram d’entrer dans le pays, invoquant son implication présumée dans la corruption, notamment l’acceptation de pots-de-vin et le vol de fonds publics, a annoncé mercredi le département d’État.

L’action du département d’État interdit également l’entrée à l’épouse et aux trois fils de l’ancien chef, a indiqué le département dans un communiqué.

Bucaram s’est livré à une corruption importante pendant qu’il était en fonction et n’a pas été tenu pour responsable, a-t-il déclaré.

« Pendant son mandat de président de l’Equateur, Bucaram s’est livré à de multiples actes de corruption, notamment en acceptant des pots-de-vin et en volant des fonds publics », a indiqué le département dans un communiqué.

Caricatures politiques sur les dirigeants mondiaux

L’année dernière, les États-Unis ont placé le président hondurien de l’époque, Juan Orlando Hernandez, sur une liste noire, lui refusant l’entrée pour actions corrompues ou antidémocratiques. La liste a été déclassifiée en février, un mois après le départ de Hernandez.

(Reportage de Susan Heavey et Doina Chiacu; Montage par Jonathan Oatis)

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