Le superyacht de luxe d’un milliardaire russe accoste en Turquie suite aux sanctions de l’UE


Le superyacht de luxe d'un milliardaire russe accoste en Turquie suite aux sanctions de l'UE

Des yachts appartenant aux plus riches de Russie ont été saisis par diverses nations

Moscou:

Un superyacht de luxe appartenant au milliardaire russe Roman Abramovich a accosté en Turquie, qui n’a pas adhéré aux sanctions européennes contre Moscou qui ont également ciblé le propriétaire du club de football de Chelsea et d’autres oligarques.

Les nations occidentales saisissent ces actifs liés à de riches Russes dans le cadre des efforts visant à faire pression sur le président Vladimir Poutine au sujet de son invasion de l’Ukraine.

M. Abramovich figurait parmi les personnes visées par les nouvelles sanctions adoptées par l’Union européenne la semaine dernière.

Le superyacht Solaris de 140 mètres (460 pieds) battant pavillon bermudien du milliardaire a été filmé lundi dans la station balnéaire de Bodrum, dans le sud-ouest de la Turquie, plus d’une semaine après avoir été repéré dans un port du Monténégro, qui ne fait pas partie de l’UE.

La Turquie, membre de l’OTAN, qui entretient des liens étroits avec la Russie et l’Ukraine, n’a pas adhéré aux sanctions visant Moscou.

Les pays occidentaux, dont les États-Unis et l’UE, ont imposé des sanctions sans précédent à la Russie pour son invasion de l’Ukraine, notamment en plaçant des oligarques et d’autres personnes proches de Poutine sur des listes de sanctions.

Des yachts appartenant aux plus riches de Russie ont été saisis par diverses nations, alors que le président américain Joe Biden a juré que des alliés « viennent pour vos gains mal engendrés ».

M. Abramovich, qui possède également un yacht encore plus grand, l’Eclipse de 162 mètres, a également été frappé d’un gel des avoirs au Royaume-Uni et d’une interdiction de voyager.

Abramovich, 55 ans, qui a acheté Chelsea en 2003, a démenti les allégations selon lesquelles il aurait acheté le club londonien sur ordre de Poutine, pour étendre l’influence de la Russie à l’étranger au début des années 2000.

La Turquie a qualifié l’invasion russe d' »inacceptable » et s’est positionnée comme médiateur pour mettre fin à la guerre.

(Cette histoire n’a pas été éditée par le personnel de NDTV et est générée automatiquement à partir d’un flux syndiqué.)

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