La Gambie jure de nommer et de faire honte aux dernières astuces de quarantaine COVID-19
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BANJUL (Reuters) – Quarante personnes en Gambie confirmées comme étant positives au coronavirus la semaine dernière ont refusé de s’auto-isoler ou ont échappé aux centres de traitement, a annoncé mardi le ministère de la Santé, promettant de révéler l’identité de ceux qui bafouent les réglementations sanitaires.
Il a également déclaré qu’un grand nombre d’arrivées récentes dans l’ancienne colonie britannique en provenance des hotspots COVID-19 n’avaient pas suivi les protocoles de santé ni ne se présentaient à un test obligatoire.
La non-conformité aura contraint les efforts pour contenir le virus dans le petit pays d’Afrique de l’Ouest, qui a enregistré plus tôt en janvier ses deux premiers cas de la variante hautement infectieuse trouvée pour la première fois en Grande-Bretagne.
Toutes les personnes concernées doivent immédiatement faire un rapport aux autorités sanitaires, a déclaré le ministère, «ce qui entraînera de graves conséquences, y compris la publication des noms et des informations d’identification de toutes les personnes en liberté».
Le taux de mortalité des cas en Afrique a augmenté de manière alarmante à 2,5%, dépassant pour la première fois le niveau mondial de 2,2%, a déclaré la semaine dernière le chef de l’organisme de lutte contre les maladies du continent.
La Gambie, dont le taux de mortalité est encore plus élevé – environ 3,2% – a enregistré plus de 4 000 cas et 128 décès au total.
Reportage de Pap Saine, écrit par Alessandra Prentice, édité par Giles Elgood
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