Ex-Celebrity Ex-Factor rend le firmament publicitaire indien plus flou
La publicité pour les célébrités est en vogue depuis plus d’un demi-siècle maintenant, mais elle suscite toujours de fortes émotions avec une opinion quant à son efficacité en termes de rapport qualité-prix divisé en deux. Depuis que le gourou de la publicité David Ogilvy a rendu publique sa désillusion à son égard avec sa remarque la plus désobligeante à l’effet – son résultat est qu’on oublie la marque et se souvient de la célébrité – la tribu des sceptiques n’a cessé de croître.
L’idée derrière cet article – qui n’est en aucun cas une tirade contre la publicité des célébrités et sa manifestation plus récente, la publicité des ex-célébrités – est de provoquer un débat plus large et plus sain sur la question de la publicité des célébrités dans toutes ses ramifications. C’est un mystère durable, un ex-facteur qui n’a pas été éclairci au-delà des superficialités et des inepties comme une célébrité apporte avec elle le pouvoir de sa propre image pour se déteindre sur la marque qu’elle approuve….bla, bla, bla.
À vrai dire, Sachin était tellement submergé par l’émotion qu’il aurait dit maintenant (à la suite de l’accord de 100 millions de roupies) qu’il pouvait se concentrer sur le cricket, le côté commercial étant pris en charge par le lobbyiste décédé qui a côtoyé l’entreprise. gros bonnets. Était-ce un aveu tacite qu’il était tiraillé entre le cricket et les publicités ? Quoi qu’il en soit.
Le public, c’est-à-dire les téléspectateurs, du moins les plus exigeants d’entre eux, sont amusés à la fin de la journée. Ils ont du mal à digérer le bombardement incessant des célébrités dans les segments de produits et de services, ce qui justifie Ogilvy – le public se souvient de la célébrité mais oublie la marque. Il aurait tout aussi bien pu ajouter que les célébrités rient jusqu’à la banque même si les propriétaires de marques n’ont aucune idée de la valeur des frais fantaisistes payés.
Quelqu’un va-t-il démystifier l’énigme enveloppée d’un mystère à l’intérieur de l’énigme appelée publicité des célébrités et sa ramification indienne de la publicité des ex-célébrités ? On dirait que Neeraj Chopra devra peut-être attendre deux autres Jeux olympiques pour qu’il soit qualifié de célébrité grâce à son statut d’ex-célébrité.
— S. Murlidharan est CA de formation et écrit sur les questions économiques, les lois fiscales et commerciales. Les opinions exprimées dans l’article sont les siennes.
(Édité par : Ajay Vaishnav)