cessez-le-feu à Gaza ; accord d’otages approuvé ; Benjamin Netanyahu promet de continuer après l’expiration


Le Hamas a pris environ 240 otages et tué 1 200 personnes lors de son raid contre Israël le 7 octobre, selon le gouvernement israélien. Les otages provenaient de communautés, notamment de fermes collectives appelées kibboutz et de bases militaires du sud d’Israël, ainsi que de personnes participant à un festival de musique en plein air.

Outre les citoyens israéliens, plus de la moitié des otages détenaient une double nationalité étrangère ou une double nationalité provenant d’une quarantaine de pays, dont les États-Unis, la Thaïlande, la Grande-Bretagne, la France, l’Argentine, l’Allemagne, le Chili, l’Espagne et le Portugal.

Selon les médias israéliens et le gouvernement israélien, jusqu’à 40 otages détenus sont des enfants, dont un bébé de 10 mois et des enfants d’âge préscolaire.

À Tel Aviv, une femme touche des photos d’Israéliens disparus et retenus captifs à Gaza.

À Tel Aviv, une femme touche des photos d’Israéliens disparus et retenus captifs à Gaza.Crédit: PA

Parmi les personnes capturées figuraient également des soldats, des personnes âgées et des personnes handicapées, comme une jeune fille de 17 ans qui ne peut ni marcher ni parler et qui utilise une sonde d’alimentation.

Le Hamas a libéré quatre captives : les Américaines Judith Raanan, 59 ans, et sa fille, Natalie Raanan, 17 ans, le 20 octobre ; et les Israéliennes Nurit Cooper, 79 ans, et Yocheved Lifshitz, 85 ans, le 23 octobre.

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Les forces israéliennes ont sauvé un otage, le soldat Ori Megidish, lors de leur invasion terrestre de Gaza le 30 octobre.

L’armée israélienne a déclaré plus tôt ce mois-ci qu’elle avait récupéré les corps de deux otages dans la ville de Gaza, dont le soldat Noa Marciano, 19 ans.

La branche armée du groupe militant palestinien Jihad islamique, qui a participé au raid du 7 octobre avec le Hamas, a annoncé tardivement la mort d’un autre otage israélien mercredi, mais n’a pas identifié l’individu.

Reuters

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