Intégrer la technologie dans les politiques spatiales


Thomas Pesquet, ancien pilote d’Air France, déclare que «l’espace redevient sexy».

Pesquet représente l’Agence spatiale européenne à bord d’un vol Space X qui marque la première fois que la NASA envoie un équipage dans l’espace avec une fusée et une capsule recyclées. Nous avons été témoins de la vidéo de la semaine dernière du premier vol de drone sur Mars. L’innovation dans l’espace a commencé à évoluer rapidement. Je suis d’accord, il y a quelque chose de sexy à ce sujet.

Pas si sexy serait une guerre froide intensifiée.

Avec SpaceX et la NASA faisant fréquemment la une des journaux, la lune commence à se sentir plus proche que jamais. La course à l’espace a évolué pour devenir un investissement dans le futur. La promesse d’un contrôle accru des données est si précieuse qu’elle ne peut être ignorée par aucune superpuissance spatiale.

Un décret de l’an dernier du président de l’époque, Donald Trump, sur l’acquisition de ressources spatiales, n’a fait qu’affirmer ce qui était déjà supposé être vrai: le gouvernement ou une entreprise privée peuvent récolter, acheter et vendre des ressources spatiales telles que les roches lunaires.

La Chine et la Russie ont convenu de commencer la construction d’une base lunaire partagée en 2025. Les deux pays ont publiquement interdit l’utilisation du service Internet par satellite de SpaceX. La Chine a même fait allusion à l’utilisation de ses systèmes d’armes antisatellites pour détruire les satellites américains indésirables volant au-dessus de son continent.

Maintenant, devrions-nous leur dire la même chose?


La politique spatiale doit tenir compte de la progression rapide de la technologie.

Jack Lipson vit à Saratoga Springs.

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