Star Wars: Visions Review: Une anthologie d’anime éblouissante



La galaxie lointaine, très lointaine revient dans une anthologie éblouissante qui ouvre de nouvelles frontières passionnantes dans un univers bien-aimé. Star Wars : Visions est une collection de neuf courts métrages d’animation de sept studios japonais. Ils se déroulent à différentes périodes avec principalement de nouveaux personnages, mais quelques visages familiers apparaissent. Les courts métrages abordent les thèmes de la lutte contre l’oppression, la lumière contre les ténèbres, les rivalités fraternelles et la corruption du pouvoir. La bataille entre les Jedi et les Sith est au cœur de chaque vignette. Là où les sabres laser s’affrontent férocement et où les plus forts de la Force règnent en maître.

Star Wars : Visions rappelle la culture des samouraïs stylistiquement et philosophiquement. L’épisode un, « The Duel », a un mystérieux Ronin (Brian Tee) face à un bandit cape et d’épée (Lucy Liu) et ses sbires menaçant un village. Vos yeux se tourneront vers les soucoupes avec son utilisation spectaculaire d’un sabre laser. L’éclat du rouge Sith marque un contraste cramoisi vif avec les arrière-plans bruns austères. Produit par Kamikaze Douga, « The Duel » place la barre haute créative avec des couleurs douces et une animation nette.

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Les Guerres des étoiles la série a un ton sombre. Deux exceptions ont une touche plus légère avec une approche plus fantaisiste. L’épisode deux, « Tatooine Rhapsody », a un anime Funko Pop cool avec une bande-son rock. Un groupe punk dirigé par des Jedi (Joseph Gordon-Levitt) en difficulté ne semble pas pouvoir terminer un spectacle sans une sorte de catastrophe. L’épisode six, « TO-B1 », est montré du point de vue d’un droïde curieux (Jaden Waldman) qui rêve de devenir un Jedi. Le personnage m’a rappelé Mega Man de mes jours de jeu Capcom. Cette histoire est probablement la plus faible dans l’ensemble, mais elle est quand même très bien menée.

Le côté obscur de la Force est une voie séduisante. Star Wars : Visions poursuit l’exploration des conflits familiaux. L’épisode trois, « Les jumeaux », et huit, « Lop & Ochō », se concentre sur la division existentielle entre les frères et sœurs sur le pouvoir et le contrôle. Certains voient l’Empire comme la véritable manifestation de l’ordre. Tandis qu’un frère (Neil Patrick Harris) et une sœur adoptive (Anna Cathcart) reconnaissent une tempête maléfique de destruction. Luke et Leia étaient naturellement bons avec une cause commune. Star Wars : Visions présente des personnages dont l’amour l’un pour l’autre devient amer et vengeur.

Les intrigues ne sont pas sophistiquées. Il y a quelques rebondissements. Mais la majorité se comporte comme une attaque de samouraï, directe et précise. Les antagonistes brandissent des sabres laser rouges et font du mal. Mon préféré de la série est « Le Neuvième Jedi ». Le cinquième épisode se déroule le plus loin dans le futur où les cristaux Kyber sont une denrée rare. Une voix fait signe à travers la Force. Sortez ceux qui se cachent des chasseurs Sith avec l’attrait d’un sabre laser. Le potentiel de ce récit est très intrigant. Production IG, les cinéastes, prend Guerres des étoiles dans une direction vraiment inconnue.

Chaque histoire de la série est ouverte à d’autres versements. Plusieurs ont des fins de cliffhanger où il n’y a pas de résolution. J’espère qu’il y aura une deuxième saison avec des durées plus longues. Vous n’avez pas besoin d’être un fan d’anime pour apprécier Star Wars : Visions. C’est une version résolument japonaise, mais pleine de tous les éléments qui font Guerres des étoiles passionnant. Lucasfilm a le mérite d’avoir permis ces interprétations audacieuses et artistiques de la franchise. Star Wars : Visions première dans son intégralité le 22 septembre sur Disney +.

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