P.-O. : le sport sur ordonnance, permis de transpirer en salle


Le dossier de la rédaction de ce dimanche est consacré aux salles de sport, où la pratique est réservée à quelques situations particulières. Pour transpirer, prière de ne pas oublier son attestion de dérogation.

Les salles de sport sont fermées au grand public depuis fin octobre. Seuls les professionnels du sport et les malades détenant une prescription d’activité physique adaptée (APA) peuvent continuer à s’y rendre. Même à perte, certains clubs de remise en forme restent donc ouverts pour que les adhérents concernés puissent exercer leur activité physique indispensable. Mais pourquoi cette activité physique leur est-elle primordiale, parfois même vitale? En quoi consiste le sport sur ordonnance? Et comment les responsables des salles de sport s’en sortent-ils?

– A quoi ressemble le quotidien de la salle de sport Aptavita à Cabestany et du club Fitness Park au nord de Perpignan, qui sont encore ouverts? Gérants et adhérents témoignent.

– Le sport est primordial, voire thérapeutique, pour Léonie Padilla qui est atteinte du syndrome de Dravet et bénéficie d’une dérogation.

– Le Dr Muriel Bénichou, chef du service Endocrinologie du CHP, explique la nécessité d’une activité physique régulière pour les diabétiques et les modalités du sport sur ordonnance.

– Pas tout à fait dans les clous, certains pratiquants obtiennent de leur médecin un précieux sésame et certaines salles ne sont pas très regardantes, témoignages.

– Sébastien Rozier, porte-parole national du collectif de patrons de salles de sport, rappelle que 99% des professionnels et des pratiquants respectent les règles. Il fait le point sur la situation financière et psychologique difficile dans laquelle se trouve les gérants de salles de sport.

Tous ces articles sont à lire en ligne dès ce samedi 13 h pour les abonnés et dans notre édition print catalane de ce dimanche 14 mars 2021.

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