L’ONU affirme que de nouveaux crédits pour la biodiversité peuvent réussir là où les compensations carbone ont échoué


Les Nations Unies soutiennent les crédits pour la biodiversité comme moyen de stimuler le financement de la conservation, mais les critiques préviennent que le nouvel instrument financier pourrait donner aux entreprises un autre outil pour améliorer leurs références vertes sans changer leur façon de faire des affaires.

La rechercher publié lundi par le Programme des Nations Unies pour le développement et l’Institut international pour l’environnement et le développement, un groupe de réflexion basé au Royaume-Uni, vient alors que les négociateurs se réunissent au sommet phare de l’ONU sur la biodiversité à Montréal dans l’espoir de finaliser un accord mondial pour arrêter et inverser la perte de biodiversité d’ici 2030.

La biodiversité – l’étendue et la variété de la vie et des écosystèmes sur terre, des ours polaires au plancton – décline à un rythme sans précédent, constituant une menace pour la planète et le système financier et accélérant le rythme auquel la planète se réchauffe. Le Forum économique mondial estime qu’environ la moitié du produit intérieur brut mondial, soit environ 44 000 milliards de dollars de valeur économique dépend du monde naturel d’une manière ou d’une autre, ce qui signifie que sa destruction entraîne également un énorme coût financier.

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