L’industrie de la haute technologie en Arménie enregistre une croissance de 20,6%


L'industrie de la haute technologie en Arménie enregistre une croissance de 20,6%

EREVAN, 9 FÉVRIER, ARMENPRESS. Malgré la pandémie COVID-19 et la guerre, le chiffre d’affaires de l’industrie arménienne de haute technologie a augmenté de 20,6% en 2020, a déclaré le ministre de l’Industrie de haute technologie Hakob Arshakyan lors d’une conférence de presse.

Arshakyan a rappelé que la pandémie et la guerre ont néanmoins entravé certains projets. «Mais le secteur de la haute technologie a connu une croissance à deux chiffres en 2020. Le chiffre d’affaires des entreprises a augmenté de 20,6% et s’est élevé à environ 198 milliards de drams», a-t-il déclaré. Le nombre comprend exclusivement des entreprises de l’industrie de haute technologie et n’inclut pas les opérateurs de communication.

Le nombre d’employés travaillant dans le secteur a augmenté de 22% pour atteindre 18 747 personnes. Le nombre d’entreprises actives a également augmenté. 1228 entreprises actives opèrent dans le secteur de la haute technologie et 192 nouvelles ont reçu des certifications en 2020 et bénéficieront des privilèges fiscaux définis par la politique et la loi du ministère.

Parlant des startups d’origine arménienne qui exploitent des centres de recherche scientifique en Arménie, il a déclaré que ces entreprises ont attiré près de 50 millions de dollars d’investissements en 2020, principalement de l’étranger. «Cela signifie qu’ils ont créé des produits et des entreprises à base scientifique en Arménie qui ont pu enregistrer le type de résultats qui sont devenus intéressants pour les investisseurs en capital-risque et d’autres investisseurs.

Les impôts payés par les entreprises de haute technologie en 2020 ont augmenté de 14%, dépassant 41 milliards de drams.

Arshakyan a appelé les étudiants souhaitant obtenir des études supérieures à rechercher des professions d’ingénieur, affirmant que ce secteur se développe rapidement en Arménie.

Édition et traduction par Stepan Kocharyan



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