Lettre : L’utilisation de WhatsApp est désormais ancrée à Wall Street
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L’annonce par la Securities and Exchange Commission des États-Unis d’amendes de 1,8 milliard de dollars pour 11 institutions financières (« Les banques de Wall Street paieront 1,8 milliard de dollars pour les violations de messagerie », Report, 28 septembre) n’est guère une surprise – cela est prévu depuis des années.
Cela devrait cependant être un signal d’alarme massif, non seulement pour l’ensemble du secteur de la banque d’investissement, mais pour toute personne soumise à un examen réglementaire des enregistrements de négociation et de communication.
Dans l’environnement commercial rapide et axé sur la technologie d’aujourd’hui, la réalité est que WhatsApp continuera d’être utilisé par le personnel et les clients. Avec une telle flexibilité dans la façon dont les gens vivent désormais leur vie, les clients avec lesquels les banques font affaire dictent la façon dont ils veulent communiquer. Et la majorité des clients préfèrent désormais utiliser des applications de messagerie instantanée telles que WhatsApp, car ces applications s’intègrent facilement à leur vie quotidienne.
Alors que les entreprises se disputent plus de comptes et de relations de qualité dans un paysage de plus en plus concurrentiel, être capable de communiquer avec les clients d’une manière qui facilite la vie est désormais une nécessité commerciale. Les observateurs raisonnables ne voient pas l’utilisation de ces applications ou de toute application diminuer, mais seulement augmenter.
La réponse n’est pas, et n’a jamais été, d’interdire ces applications. La solution doit être de mettre davantage l’accent sur des pratiques efficaces de supervision et de gestion des risques, plutôt que d’interdire purement et simplement aux employés d’utiliser des applications qui sont désormais profondément ancrées dans la façon dont ils mènent leurs activités.
Olivier Souffleur
Directeur général, VoxSmart
Londres SE1, Royaume-Uni
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