Lettre : La cupidité est le véritable moteur du changement de nom de Facebook


Il faut se demander comment Facebook a réussi à cacher ce changement de paradigme aux yeux des investisseurs mondiaux et des fidèles (« Look to Las Vegas for a vision of the metaverse », On Wall Street, 27 novembre).

Meta vient de « surgir » très commodément à un moment où Mark Zuckerberg et Co étaient sous le contrôle du Congrès pour avoir hébergé des messages politiques controversés.

On peut aussi s’interroger sur les racines de la « variante Covidlike » qui vont muter et propager cette « mauvaise herbe » envahissante dans le jardin d’Eden connue sous le nom de « la vie telle que nous la connaissions autrefois ». Peut-être que l’engouement insatiable qui entoure les investisseurs en crypto qui revivent les jours du « far west sauvage » d’antan dans le domaine de la finance peut nous donner des indices sur l’origine de cette anomalie. L’histoire va-t-elle se répéter à travers Meta ? Sera-t-il motivé par les frustrations et les désillusions de notre existence actuelle ?

Enfin, le moteur ultime derrière Meta est sans aucun doute la cupidité. Zuckerberg and Co ne sont pas dupes. Ils mettent en place une plate-forme mondiale de métaverse où les jeunes peuvent se rassembler, créer et rivaliser. Lorsque le gagnant d’entre eux tentera de « tout prendre », Meta sera là pour « les racheter ». . . et comme nous avons déjà vu Zuckerberg le faire avec Facebook, la plupart seront arrêtés net pour faire place aux « Élus ».

J’aimerais pouvoir croire que vos paroles pourraient révéler des avertissements à l’horizon, mais à l’instar du changement climatique et de la pandémie de Covid, personne n’écoutera vraiment tant que nous n’aurons pas vécu une catastrophe mondiale.

Tom Kadala
New York, NY, États-Unis

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