Le natif d’Athlone heureux de voir les fans revenir au football en Espagne !


L’homme Athlone Kevin Quinn est basé à Malaga, en Espagne. Il est photographié ici, avec ses enfants Alicia et Kian, lors du premier match à Malaga, avec des supporters présents, pendant 526 jours !

L’année dernière, le Westmeath Independent a diffusé une série de longs métrages, « Abroad In Uncertain Times », dans laquelle nous avons interrogé des habitants de diverses parties du monde sur la façon dont ils faisaient face à la pandémie tout en vivant loin de chez eux. Nous avons récemment repris contact avec les personnes présentées pour une mise à jour sur la façon dont les choses se passent depuis.

Kevin Quinn, de Retreat Heights, Athlone, vit à Malaga, en Espagne, depuis une dizaine d’années. Il travaille pour Dell. Kevin est marié à Elena et ils ont deux enfants, Kian et Alicia.

* Quelle est la situation actuelle du virus à Malaga ?

Ici, à Malaga, nous venons de descendre d’un niveau, car le pic Delta au cours des trois à quatre dernières semaines commence à montrer des signes de baisse. Les restrictions associées à ce niveau étaient très ciblées sur les jeunes (espagnols et touristes) et leurs activités estivales, avec des plages fermées à 23h, des bars et cafés fermés une heure plus tôt et le nombre de tables réduit de 8 à 6. Pour la plupart des habitants, cela n’était qu’un léger inconvénient.

Le grand changement ici qui est intervenu au début de l’été a été la levée du port obligatoire du masque à l’extérieur où une distance de deux mètres pouvait être observée. C’était énorme quand la chaleur commençait à monter et aussi un énorme coup de pouce psychologique comme indicateur que nous avions peut-être passé le cap.

Le plus important pour moi, et tous ceux qui me connaissent le comprendront, les fans sont de retour en Liga !

* La pandémie continue-t-elle d’avoir un impact sur votre vie et votre travail ?

J’ai toujours travaillé à domicile donc rien n’a changé pour moi. Nous essayons de minimiser l’impact sur notre vie, mais c’est difficile car c’est encore partout. Vous devez essayer d’absorber ce que vous devez savoir et bloquer le reste.

* Comment se passe la situation maintenant, par rapport aux premiers stades de la pandémie ?

Je dois dire que nous avons de la chance ici en Espagne. Après avoir parlé à des personnes qui ont visité l’Espagne au cours de l’été, elles ne peuvent pas croire à quel point elle est ouverte par rapport à l’Irlande. Depuis le verrouillage initial sévère de huit semaines l’année dernière, nous menons une vie assez normale avec des restrictions de temps et de voyage et le port obligatoire du masque. Sinon, toutes les écoles sont ouvertes, tout comme les magasins, les barbiers, les cafés, les sports pour enfants. Les sports de plein air pour adultes, y compris le golf, se sont poursuivis, nous nous considérons donc chanceux.

* Quel a été l’aspect le plus difficile de 2021 pour vous ?

C’est une question facile à répondre : ne pas pouvoir sauter dans un avion et rentrer chez soi sans aucun risque ni restriction. C’est difficile, surtout pour les enfants qui veulent désespérément rendre visite à leurs grands-parents et à leur famille en Irlande. Ils ont dû vivre de loin la perte du père de ma femme, à Dublin. Quand la situation sera bonne, nous ferons le voyage.

* Quels sont vos espoirs pour le reste de cette année ?

Bonne santé continue pour toute la famille, un retour à la normale s’il vous plaît, et surtout, dîner du dimanche à Athlone !

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