La menace de l’Afrique ne nous arrêtera pas, insistent les réfugiés du camp de Dunkerque | Nouvelles
Piwand Barzan vit dans un camp à la périphérie de Dunkerque mais n’est pas particulièrement pressé de rejoindre le Royaume-Uni.
Le Kurde irakien, âgé d’une vingtaine d’années, gagne 50 euros par jour chez un barbier du vaste camp français, qui commence à ressembler au fameux camp de la jungle démantelé en 2016.
Il compte se payer une place sur un petit bateau pour traverser la Manche « quand le temps s’améliorera ».
Piwand Barzan a déclaré que « le Rwanda n’a pas la place » pour des dizaines de milliers de migrants du Royaume-Uni
Barzan est très conscient de la nouvelle politique du gouvernement visant à renvoyer les migrants vers le Rwanda. Mais tout le monde Les temps parlé au camp ne se laisse pas décourager.
La réaction des migrants vivant dans des tentes près de Calais et de Dunkerque face à l’accord signé par Priti Patel va de la perplexité à