Euro 2020 : Gareth Bale dit qu’il jouera pour le Pays de Galles jusqu’au jour où il quittera le football


jeIl a fallu cinq ans et six tentatives, mais Romelu Lukaku a finalement réussi une première victoire sur Cristiano Ronaldo la saison dernière.

C’était un moment à savourer pour Lukaku au San Siro après avoir gagné contre l’une de ses idoles. Il essayait de faire avancer le Scudetto de la Juventus, mais il y avait une profonde appréciation pour lui, au point qu’il plaidait sa cause lors d’un débat entre Messi et Ronaldo entre amis.

Lukaku n’est pas différent des autres attaquants en tête du classement des buteurs européens, préoccupés par qui est la vraie affaire. Une phrase qui apparaît est un « stat-padder », emprunté au sport américain, où un joueur booste ses statistiques avec des buts qui n’ont que peu de sens dans les jeux.

Ronaldo n’est pas un stat-padder. Les grandes performances, les buts importants sur la plus haute scène. Les peines de consolation lui importent peu.

C’est à cette norme que Lukaku veut être mesuré dans une carrière où des questions ont été posées pour savoir s’il appartenait à la tranche supérieure des attaquants. Sa confiance a fluctué, mais il se dirige vers l’affrontement des huitièmes de finale de l’Euro d’aujourd’hui contre le Portugal et Ronaldo en tant que joueur avec une arrogance saine quant à l’endroit où se situe son jeu.

Ronaldo débutera le match nul à La Cartuja à Séville avec un but pour dépasser Ali Daei et devenir le meilleur buteur international de tous les temps, avec Lukaku parmi les rares joueurs ayant une chance de le rattraper.

En fait, le record de Lukaku se compare favorablement avec 63 buts en 96 sélections. Ronaldo avait marqué 36 buts après le même nombre d’internationaux, bien que son taux de buts depuis ait été surhumain.

Bien qu’il soit le meilleur buteur de Belgique, Lukaku a eu une relation difficile avec ses supporters. Il a été raillé pour de mauvais ratés et a exprimé sa frustration avant la dernière Coupe du monde, lorsqu’on lui a posé des questions sur les commentaires de son frère sur le joueur le plus prolifique du pays ne recevant pas le crédit qu’il mérite. « Peut-être qu’il a raison, » dit Lukaku.

« Quand les choses allaient bien, je lisais des articles de journaux et ils m’appelaient Romelu Lukaku, l’attaquant belge », écrit-il dans le Players’ Tribune. « Quand les choses n’allaient pas bien, ils m’appelaient Romelu Lukaku, l’attaquant belge d’origine congolaise. »

Par Mike McGrath



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