Définition de l’emploi des stocks



Qu’est-ce que le travail boursier?

Stock jobbing est un terme obsolète qui signifie réaliser des bénéfices rapides sur de petits mouvements d’une action, en grande partie sur la base du principe de la tenue de marché. Le terme est pour la plupart hors d’usage et vient d’un terme d’argot britannique désignant certains participants aux marchés financiers à la Bourse de Londres avant 1986.

La terminologie la plus courante pour ce type d’activité de marché similaire serait le scalping, le day-trading ou le trading à haute fréquence (HFT). Les pratiques commerciales informatisées et autres pratiques commerciales modernes ont masqué cette similitude.

Points clés à retenir

  • Ce terme est un argot britannique pour désigner les rôles que les teneurs de marché jouaient à Londres avant les années 1980.
  • Le terme est beaucoup moins utilisé aujourd’hui, mais désigne plus généralement le day trading ou le scalping.
  • Les grossistes étaient généralement définis par leur disposition envers le marché comme haussière ou baissière.
  • Le trading à haute fréquence (HFT), à bien des égards, est analogue à ce que les vendeurs d’actions ont fait, bien que la technologie ait considérablement modifié la dynamique de ce processus.
  • Les grossistes, contrairement aux courtiers, négocient pour leur propre compte de manière spéculative.

Comprendre la gestion des stocks

Stock jobbing est un terme d’argot britannique pour le day trading à court terme où le commerçant essaie de faire de petits profits fréquents. Le terme vient comme une généralisation en référence au travail effectué par les grossistes en stock. Ces personnes étaient en fait des teneurs de marché à la Bourse de Londres avant octobre 1986, lorsque le secteur financier de Londres a été déréglementé.

Jusqu’à cette époque, les grossistes en bourse (ou simplement les grossistes) avaient pour activité de prendre le côté opposé des ordres des investisseurs ou des commerçants et/ou de faire correspondre ces ordres à d’autres investisseurs ou commerçants souhaitant prendre la position opposée. Les réglementations et les protections accordées aux grossistes en bourse pendant la majeure partie du 20e siècle et avant en ont fait une activité assez lucrative, car tout ce qu’ils avaient à faire était de traiter les commandes et de capturer un écart substantiel (basé sur des fractions au lieu de décimales). Le marché a éliminé ce type de travail au profit de mécanismes de transaction plus efficaces rendus possibles par les ordinateurs et le commerce électronique.

Mais le terme stock jobbing a persisté comme un moyen de décrire tout acteur du marché qui cherchait un tour rapide de profit dans de petites fluctuations de prix. Les traders au sol, les day traders propriétaires et même les traders à haute fréquence pourraient aujourd’hui être étiquetés avec le terme jobbers boursiers.

Alors que certaines personnes confondent souvent « boursier de bourse » et « agent de change », un courtier en bourse négocie avec ses propres comptes tandis qu’un courtier exécute des opérations pour le compte de clients.

Comment être un revendeur d’actions

Alors que la plupart des investisseurs supposent qu’il est préférable de rechercher de la valeur par le biais d’investissements à long terme, le jobbing des actions (day trading) a un objectif à court terme plus spéculatif. Au lieu d’utiliser l’analyse fondamentale et de sélectionner des investissements qui, selon les professionnels, sont susceptibles d’augmenter au fil du temps, le trader à court terme cherche à identifier et à saisir les opportunités de réaliser de petits profits rapides et à reproduire cette procédure aussi souvent que possible.

Les grossistes en bourse utiliseront souvent l’analyse technique pour générer des gains à court terme. Les traders à haute fréquence sont la version la plus moderne des courtiers boursiers, car ils cherchent à identifier, exécuter et faire correspondre les commandes en de minuscules fractions de seconde. Les bénéfices réalisés par ces entreprises peuvent être extrêmement faibles pour une transaction donnée, mais ce type de transaction repose sur le principe selon lequel on peut identifier des marchés avec un volume si élevé que de nombreuses transactions peuvent être effectuées en une seule minute.

Les vendeurs d’actions doivent être disciplinés et doivent s’en tenir à leur régime commercial de très près. Toute décision qui doit être prise doit être prise avec certitude. Mais les jobbers doivent également être très flexibles car les conditions du marché sont très fluides et si une transaction ne se déroule pas comme prévu, ils devront corriger la situation le plus rapidement possible sans encourir trop de pertes.

FAQ sur l’emploi des stocks

Quelle est la différence entre un courtier et un grossiste ?

Un courtier boursier fait référence à un individu qui place des paris sur le marché avec son propre argent, souvent synonyme de day trading ou de scalping. Un courtier en valeurs mobilières, d’autre part, agit en tant qu’intermédiaire pour que les clients effectuent des transactions sur les marchés, gagnant une commission ou des frais pour faciliter et exécuter des transactions au nom des clients.

Quels sont les trois types de stock Jobber?

En général, un jobber peut être décrit par ses perspectives de marché. Un taureau est celui qui pense que le marché va monter et achète des actions en prenant des positions longues. Un ours, en revanche, soupçonne que les prix vont baisser et vend à la place des actifs pour prendre des positions courtes. Un troisième type de jobber, le « stag » opère principalement sur les marchés primaires, investissant dans des placements privés avant qu’une entreprise ne devienne publique via une introduction en bourse. Le cerf aide à promouvoir le nouveau numéro et crée le buzz. Un cerf peut également faire référence à un jobber qui est un day trader à court terme.

Les courtiers boursiers ont-ils toujours été trouvés sur les bourses ?

Alors que le terme « jobber » est passé de mode, les day traders et les traders à haute fréquence correspondent à la facture d’un jobber. Et, historiquement, le jobbing a toujours été une caractéristique des marchés. Le roman classique des marchés, Souvenirs d’un opérateur boursier, par exemple, il s’agit d’un compte rendu du début des années 1920 de la gestion des actions via ce qu’on appelle des « boutiques à godets » où des positions à court terme étaient prises en actions sur la base de lectures de bandes magnétiques.

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